jean-françois blanc

Clarens, Suisse

C’est au milieu des années 1960 que je découvre J.-M.G.Le Clezio à l’occasion d’un cours sur le Nouveau roman donné à la Faculté des Lettres de l’Université de Lausanne. Un exemplaire du Procès-verbal acheté d’occasion, et le « virus » est ancré en moi.

Tout le contraire d’un « poison », mais une invitation sans cesse renouvelée au voyage par l’ouverture sur le monde, la diversité de ses cultures et l’universalité de la condition humaine, ses injustices et ses résistances, par la richesse de l’écriture et son cheminement vers la densité, l’essentiel.

Comme pour beaucoup de lecteurs sans doute, ce sont les résonnances entre l’œuvre de Le Clezio et mes propres expériences de vie qui me marquent et me marqueront encore longtemps.

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