Isabelle Combes

Lille, Paris et un village de Charente-Maritime

Je suis une lectrice de J.M.G. Le Clézio comme je le suis de quelques autres auteurs qui constituent des fidèles compagnons de route. J’ai découvert J.M.G. Le Clézio dans les années 1990 avec Désert, puis je l’ai lu de manière régulière OnitshaLa Quarantaine,… une vingtaine de romans, contes ou essais en tout. Le Chercheur d’or est, je crois, le livre de J.M.G. Le Clézio que je préfère. Pour moi, J.M.G. Le Clézio représente avant tout l’ailleurs, puis la rencontre, et l’humain. Je dirais de son écriture que parfois il ne s’y passe pas grand-chose, mais je rentre dans son univers grâce à de longues descriptions riches de nombreux petits détails. C’est un univers onirique et en même temps très ancré dans le réel.

Quand nous avons été confinés en mars 2020, je me suis replongée dans son œuvre. J’avais dans ma bibliothèque un livre que je n’avais pas encore lu : L’Inconnu sur la terre, et ce fut l’occasion de le lire ; j’ai beaucoup aimé. Cette lecture m’aura fait voyager tout en restant enfermée chez moi. A la fin du confinement, j’ai rencontré Isabelle Roussel-Gillet en rapport avec un projet concernant le musée d’une autre grande écrivaine, Marguerite Yourcenar, et c’est elle qui m’a parlé de l’Association des lecteurs de J.-M.G Le Clézio.

Je ne suis pas universitaire, mais je suis très heureuse de rejoindre l’Association des lecteurs de J.M.G. Le Clézio pour apprendre à mieux le connaitre et partager avec d’autres mon goût pour son écriture.

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