pierre-louis ballot

Bordeaux, France

J’ai découvert Jean-Marie Gustave Le Clézio pour la première fois à l’âge de 17 ans, et plus particulièrement le 8 octobre 2008, jour où l’ensemble de son œuvre a été récompensé du prestigieux Prix Nobel de Littérature.

J’ai dès lors envisagé de le découvrir un peu plus à travers la lecture de ses œuvres.

Quelques mois après avoir lu Le Procès-verbal, c’est en lisant Voyage à Rodrigues que j’ai vraiment pris conscience de l’homme qu’était l’écrivain, c’est-à-dire : un être solitaire, profond, intègre, engagé, passionné, cultivé, et en quête permanente de la connaissance approfondie de chaque culture, ethnie, dans le but de mieux comprendre cette entité si complexe qu’est le Monde. J’ai l’impression que lui seul est capable de décrire toute la beauté et en même temps toute la misère de notre planète Terre. C’est pourquoi, chacun de ses textes, à la fois poétiques et sensuels, me permettent de vivre une extase intellectuelle jamais ressentie auparavant.

Aussi, il m’arrive, dans mes moments d’égarement et de solitude, de penser à Jean-Marie Gustave Le Clezio, cet être hors du commun, et d’y trouver une consolation face à la dureté du quotidien.

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